Tel un cauchemar qui résonne aujourd’hui par temps de pandémie, Aslı Erdoğan a rédigé ce court texte, mêlant l’impossible reconnaissance de l’altérité et de la différence, à l’aspect carnavalesque de la mort qui rôde. Curieuse nouvelle écrite dans sa langue maternelle, dont elle se dit “exilée”, qu’elle avait déjà publiée en 2021 sur son site personnel.